

Télés, journaux, radios, médias, cessez votre matraquage et laissez-nous notre air, que nous puissions respirer, voler, rêver... Nous, pauvres optimistes démodés, oiseaux de bonnes augures, réclamons notre droit à la liberté de penser et à nos instants privilégiés sur fil (fragile certes) de la vie en toute sérénité...
Puisse les Alpes apaiser les tourmentés.
GRR.

